Les niveaux d’eau souterrains dans la mine Kakula se sont stabilisés ; le drainage commencera au troisième trimestre 2025
Kamoa Copper revoit ses prévisions de production pour 2025 entre 370 000 et 420 000 tonnes de cuivre
Le démarrage de la fonderie devrait avoir lieu en septembre 2025, la première anode étant prévue pour octobre 2025
KOLWEZI, RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO – Kamoa Copper annonce aujourd’hui une mise à jour sur les activités opérationnelles du complexe cuprifère Kamoa-Kakula, y compris les conclusions géotechniques préliminaires relatives à l’activité sismique souterraine observée à la mine de Kakula, comme annoncé initialement le 20 mai 2025.
L’exploitation souterraine dans la partie ouest de la mine de Kakula a repris de manière sûre et sécurisée, les équipes et les équipements minières ont redémarré les activités sous terraines le 7 juin 2025. Le plan minier à court terme pour la partie ouest de Kakula a été mis à jour afin d’inclure les recommandations issues des conclusions préliminaires.
Les activités minières dans la partie est de la mine Kakula devraient démarrer sous peu, et se concentreront exclusivement sur le développement de voies d’accès à une nouvelle zone minière à l’est des développements miniers existants. Le développement de la nouvelle zone d’exploitation minière sera isolé des activités de d’exhaure du même côté de la mine.
Tel qu’annoncé le 2 juin 2025, une capacité de pompage souterraine supplémentaire a été installée à la mine de Kakula, stabilisant ainsi les niveaux d’eau souterrains. La fréquence de l’activité sismique a diminué depuis le premier signalement le 18 mai 2025. L’assèchement de la partie est de la mine Kakula devrait commencer en août 2025 et s’achever durant le quatrième trimestre.
Les recommandations issues des conclusions géotechniques préliminaires des meilleurs experts mondiaux ont été intégrées dans les plans miniers à court terme de la mine Kakula afin de garantir une reprise en toute sécurité des opérations souterraines. Parallèlement, les plans miniers à moyen et long terme sont en cours d’examen par la direction de Kamoa Copper, en collaboration avec des consultants techniques.
Les concentrateurs des phases 1 et 2 continuent de fonctionner à environ 50 % de leur capacité opérationnelle combinée, traitant le minerai provenant des stocks de surface. Le taux de traitement des concentrateurs augmentera tout au long de l’année 2025, à mesure que l’exploitation minière du côté ouest de la mine Kakula s’intensifiera, complétée par l’alimentation provenant des stocks de minerai. Les opérations minières de la mine souterraine de Kamoa, ainsi que le traitement du minerai dans le concentrateur de phase 3 adjacent, continuent d’afficher des performances supérieures à la moyenne.
Avec la quantité nécessaire de concentré de cuivre qui devrait être disponible, la fonderie de cuivre sur site devrait démarrer en septembre, la première anode étant attendue en octobre 2025.
Le coprésident exécutif d’Ivanhoe Mines, Robert Friedland, a déclaré :
« Nous sommes reconnaissants et nous apprécions profondément la réponse rapide de notre équipe pour stabiliser les niveaux d’eau souterrains dans la mine de Kakula et reprendre l’exploitation du côté ouest. L’équipe a rapidement sécurisé l’équipement essentiel nécessaire pour pomper en toute sécurité l’ensemble de la mine, tout en préparant l’accès à une nouvelle zone à haute teneur à l’est.
« Bien qu’il soit encore trop tôt pour détailler nos plans pour 2026 et 2027, l’avenir reste prometteur pour le complexe cuprifère Kamoa-Kakula ainsi que pour le projet d’exploration des Western Forelands adjacent. Kamoa-Kakula est, et continuera d’être, une opération de classe mondiale de premier ordre, avec plusieurs décennies devant nous en tant que l’un des principaux producteurs de cuivre au monde. »
La présidente-directrice générale d’Ivanhoe Mines, Marna Cloete, a ajouté :
« Nous travaillons sans relâche pour restaurer en toute sécurité et de façon systématique l’ensemble des opérations de la mine de Kakula. La sécurité a toujours été, et restera toujours, notre priorité absolue. Nous souhaitons exprimer nos sincères remerciements aux équipes de l’exploitation minière, aux équipes d’ingénierie et à nos sous-traitants de longue date pour leurs efforts extraordinaires afin de restaurer la capacité de pompage et relancer les opérations, le tout sans aucun accident avec arrêt de travail.
« La résilience de notre équipe et la robustesse de nos opérations témoignent du caractère exceptionnel de ce district cuprifère de classe mondiale, et de l’avenir qu’il représente pour les générations à venir. »
Figure 1. Schéma du gisement de Kakula et Kakula Ouest, superposé avec les développements souterrains depuis le début de l’exploitation en 2021. Une part significative du gisement original de Kakula reste inexploité en mai 2025.

Notes : Développement souterrain existant en date de mai 2025.
L’illustration est basée sur le plan IDP 2023 de Kamoa-Kakula, montrant la teneur moyenne estimée de chaque empilement vertical de blocs au-dessus du seuil de coupure total de cuivre de 2 %. Une épaisseur minimale de 3 mètres est appliquée.
Les niveaux d’eau souterrains dans la mine de Kakula se sont stabilisés ; l’exploitation minière souterraine reprend sur le côté ouest de Kakula
Bien que les débits d’eau entrants dans la mine de Kakula aient légèrement augmenté à la suite de l’activité sismique initiale, ils se sont depuis stabilisés à environ 4 000 litres par seconde.
Étant donné que l’infrastructure de pompage souterrain existante a été affectée par l’activité sismique, une capacité supplémentaire d’environ 4 400 litres par seconde a été installée, stabilisant ainsi les niveaux d’eau souterrains. Les nouvelles stations de pompage sont reliées à l’infrastructure centrale de pompage existante, permettant l’évacuation de l’eau vers la surface à quatre emplacements situés à la base des déclins jumeaux nord et sud, comme illustré dans la Figure 2.
Avec les niveaux d’eau stabilisés, l’exploitation minière sur le côté ouest de la mine de Kakula a redémarré. Les équipements mobiles et les équipes minières, évacués de la mine le 18 mai 2025, sont retournés sous terre, le premier dynamitage ayant eu lieu le 7 juin 2025. Les plans miniers à court terme ont été mis à jour pour intégrer les recommandations des constatations géotechniques préliminaires. Les équipes minières de Kamoa Copper visent une montée en cadence progressive des extractions du côté ouest de Kakula à environ 300 000 tonnes par mois (soit 3,6 millions de tonnes par an en rythme annualisé) durant le second semestre 2025, sous réserve des conditions souterraines.
Pour le reste de 2025, les équipes minières souterraines de Kakula concentreront leurs efforts sur trois activités :
- l’intensification de l’exploitation du côté ouest de la mine de Kakula ;
- le développement d’une nouvelle zone minière sur le côté est de Kakula ;
- l’accélération de la production depuis la zone minière de Kamoa.
Figure 2 : Vue d’ensemble de l’infrastructure souterraine existante de la mine de Kakula, montrant les débits de pompage actuels, les capacités futures de pompage et la profondeur des développements miniers.

Les équipes minières supplémentaires déployées dans la zone minière de Kamoa, située à environ 10 kilomètres au nord de Kakula, viendront appuyer les équipes existantes dans le développement souterrain, ainsi que dans le développement de nouveaux déclins à partir de l’aménagement d’une nouvelle tranchée (« box cut ») prévue à la mine de Kansoko. Cette nouvelle tranchée permettra d’augmenter la production de Kansoko, apportant une source additionnelle de minerai pour les concentrateurs des phases 1 et 2.
Les équipes minières se concentreront sur la nouvelle zone minière du côté est de Kakula ; le développement devrait démarrer sous peu, isolé des opérations de drainage.
L’exploitation du côté est de la mine de Kakula suivra un nouveau plan minier, avec pour priorité le développement d’une nouvelle zone d’exploitation plus à l’est, au-delà des développements existants. Cette nouvelle zone sera séparée des travaux existants par un pilier de sécurité. Le pilier est conçu pour protéger la nouvelle zone contre toute propagation potentielle d’instabilité géotechnique provenant des travaux existants.
Les équipes minières construiront deux nouvelles galeries d’accès vers cette nouvelle zone minière, dont le démarrage est imminent. Ces nouvelles galeries seront développées simultanément, en progression vers l’est à partir de l’infrastructure souterraine existante, comme illustré dans la Figure 2.
Le développement de cette nouvelle zone sera réalisé à la fois dans du minerai et des stériles, et devrait s’achever au deuxième trimestre 2026. Ces galeries de développement seront totalement isolées des travaux en cours de drainage et progresseront indépendamment de ces opérations.
Après l’achèvement des opérations de drainage du côté est de Kakula, une inspection géotechnique physique des travaux existants de la mine sera réalisée, permettant aux experts d’achever leur évaluation complète. Les résultats de cette inspection détermineront l’approche et l’étendue des futures opérations minières dans cette zone.
Comme illustré dans la Figure 2, les travaux miniers atteignent leurs plus grandes profondeurs du côté est de la mine ; les inondations souterraines sont donc principalement concentrées autour de cette zone.
L’équipe d’ingénierie de Kamoa Copper a mis en place un plan en deux étapes pour le drainage complet de la mine de Kakula.
La première étape consiste en l’installation d’infrastructures temporaires de pompage souterrain supplémentaires pour stabiliser et maintenir les niveaux d’eau actuels. Cette première étape a été achevée comme annoncé le 2 juin 2025.
La seconde étape prévoit l’installation de pompes submersibles à haute capacité, ainsi que de nouvelles infrastructures permanentes permettant le drainage complet de la mine de Kakula depuis la surface. Kamoa Copper a commandé cinq pompes de haute capacité, chacune pouvant pomper 650 litres par seconde. D’autres pompes seront également commandées dans le cadre du plan d’infrastructure de pompage à long terme. Ces pompes seront déployées par paires dans les infrastructures de puits existants, afin d’accéder aux zones les plus profondes de la mine de Kakula, comme illustré dans la Figure 2.
Les opérations de drainage devraient commencer en août 2025. Les équipes d’ingénierie procéderont également à la réhabilitation des infrastructures de pompage et de ventilation souterraines, ainsi qu’aux inspections géotechniques, au fur et à mesure de la baisse des niveaux d’eau. Le drainage complet de la mine de Kakula devrait être terminé au cours du quatrième trimestre.
Vue vers le sud : les deux emplacements de puits existants où l’infrastructure de pompage de surface de la « deuxième étape » sera installée pour le drainage du côté est de la mine de Kakula. L’eau sera évacuée dans les canaux de surface existants (à droite de l’image).

Vue vers le nord avec les concentrateurs des phases 1 et 2 en arrière-plan : l’un des deux emplacements de puits visibles au premier plan qui sera utilisé pour la « deuxième étape » du drainage de la zone la plus profonde de la mine de Kakula.

Une pompe submersible à haute capacité, similaire à celles commandées par Kamoa Copper pour le drainage de la mine de Kakula, avant son abaissement dans un puits de la mine de cuivre de Luansha, en Zambie, en septembre 2024. Source photo : CNMC (China Nonferrous Metal Mining Group Co., Ltd).
Résultats géotechniques préliminaires sur la cause de l’activité sismique récente

Deux sociétés d’ingénierie géotechnique indépendantes de premier plan, Beck Engineering de Nouvelle-Galles du Sud, Australie (Beck Engineering), et Open House Management Solutions de Potchefstroom, Afrique du Sud (Open House), ont été mandatées et mobilisées à Kamoa-Kakula peu après la détection de l’activité sismique le 18 mai 2025. Les deux cabinets collaborent étroitement avec l’équipe d’ingénierie de Kamoa Copper, avec le soutien d’Ivanhoe Mines.
Les résultats préliminaires indiquent que l’activité sismique a pris naissance dans une zone du côté est de la mine de Kakula où le taux d’extraction était avancé. L’hypothèse actuelle est que des blocs de minerai, destinés à une extraction secondaire, ont commencé à céder en cascade, entraînant une redistribution des contraintes sur les piliers régionaux. Par conséquent, les piliers régionaux ont été surchargés et ont commencé à céder. Le remblai, placé dans les vides miniers, n’a pas pu empêcher la redistribution des contraintes sur les piliers de soutien régionaux, mais a pu atténuer. La possibilité que des caractéristiques géologiques régionales défavorables aient amplifié le phénomène ne peut être exclue à ce stade.
Les piliers sont des sections de minerai ou de roche laissées en place pour soutenir le plafond de la mine, tandis que les vides (stopes) sont les zones déjà exploitées. Le remblayage est le procédé par lequel les vides sont remplis avec un mélange de rejets de concentrateur et de ciment, qui durcit pour atteindre une résistance ciblée.
L’évaluation géotechnique n’est pas encore finalisée car elle nécessite un accès physique à la section est de la mine de Kakula une fois le drainage achevé.
Les conclusions préliminaires recommandent de modifier les plans miniers à court terme afin d’augmenter la largeur des piliers pour un soutien structurel renforcé. Elles recommandent également d’adapter la séquence d’exploitation pour mieux répartir les contraintes et améliorer la stabilité générale. En outre, un système de surveillance géotechnique renforcé sera déployé dans l’ensemble de la mine.
Le Comité de Direction de Kamoa Copper, en collaboration avec Beck Engineering, Open House et d’autres consultants techniques, évalue les ajustements à apporter aux plans miniers à court, moyen et long terme à la lumière de ces résultats préliminaires.
Les travaux sur un plan de développement intégré de la durée de vie de la mine, qui étaient en cours avant l’activité sismique, sont suspendus jusqu’à ce que l’équipe d’ingénierie d’Ivanhoe Mines et son panel d’experts techniques aient validé les nouvelles hypothèses. Kamoa Copper communiquera ultérieurement un calendrier de publication du plan de développement Intégré actualisé.
Membres de l’équipe minière de Kamoa-Kakula, (de gauche à droite) Kalume Malidja, contremaître de mine, et Morné Du Plooy, surintendant de mine.

Les concentrateurs des phases 1 et 2 fonctionnent à capacité réduite et prévoient une montée en puissance avec la reprise de l’exploitation sur le côté ouest de Kakula ; le concentrateur de la phase 3 continue de surpasser les performances attendues
Les équipes ont repris l’exploitation du côté ouest de Kakula le 7 juin 2025. L’exploitation de cette section redémarre prudemment, avec une montée en puissance planifiée vers un rythme annualisé de 3,6 millions de tonnes au troisième trimestre. Ce rythme permettra aux concentrateurs des phases 1 et 2 d’atteindre un débit supérieur à 80 % de leur capacité nominale combinée de 9,2 millions de tonnes par an, complété par le minerai des stocks de surface et du minerai transporté depuis les mines de Kamoa. La teneur du minerai brut extrait du côté ouest de Kakula, incluant le développement, devrait se situer entre 3,0 % et 4,0 % de cuivre pour le reste de l’année.
Les concentrateurs des phases 1 et 2 continuent de fonctionner à environ 50 % de leur capacité combinée, traitant le minerai des stocks de surface depuis l’arrêt des opérations souterraines le 18 mai 2025.
Le concentrateur de la phase 3, situé à proximité de la zone minière de Kamoa (Figure 3), continue de surpasser les performances opérationnelles depuis le début de l’année. Le concentrateur fonctionne à un débit moyen annualisé d’environ 6,5 millions de tonnes par an, soit 30 % au-dessus de sa capacité nominale de 5 millions de tonnes par an. Depuis le début de l’année, le minerai traité par le concentrateur de la phase 3 présente une teneur moyenne de 2,84 % de cuivre. L’extraction combinée des mines de Kamoa et Kansoko a augmenté au cours des deux derniers mois, atteignant un rythme annualisé de plus de 6,8 millions de tonnes par an.
Les plans miniers à court terme des mines de Kamoa et Kansoko ont été mis à jour pour intégrer les recommandations de l’évaluation géotechnique préliminaire. Les plans à plus long terme seront également réévalués parallèlement à ceux de Kakula.
Figure 3. Vue d’ensemble du complexe cuprifère Kamoa-Kakula.

Prévisions de production 2025 révisées
Les prévisions actualisées de production 2025 de Kamoa Copper reposent sur plusieurs hypothèses et estimations en date du 10 juin 2025. Ces prévisions tiennent compte de risques et incertitudes connus et inconnus pouvant entraîner des écarts significatifs avec les résultats réels. Les prévisions révisées intègrent les effets probables de l’activité sismique récente et des interruptions associées dans l’exploitation de la mine de Kakula.
Même si l’exploitation a repris sur le côté ouest de la mine de Kakula, des risques subsistent : il est encore trop tôt pour évaluer précisément d’éventuelles perturbations liées à de nouvelles activités sismiques, à l’intégrité des infrastructures souterraines, à la capacité de montée en puissance des opérations, à l’achèvement du drainage ou à l’accès aux nouvelles zones minières.
Les prévisions révisées pour 2025 sont basées sur une évaluation de ces facteurs que la direction estime raisonnable au vu des informations disponibles.
Prévisions de production 2025 révisées Kamoa-Kakula
370 000 – 420 000 tonnes de cuivre contenu dans le concentré
Tous les chiffres sont exprimés sur une base de projet à 100 %, le métal rapporté dans le concentré étant avant les pertes de raffinage ou les déductions contractuelles liées aux conditions de fusion.

Orientation précédente (point median) | Débit réduit (Phase 1&2) | Récupération réduite (Phase 1&2) | Récupération réduite (Phase 1&2) | Teneur et récupération plus faibles (Phase 3) | Orientation Révisée (point median) |
Le graphique en cascade de la Figure 4 détaille les ajustements des prévisions de production initiales vers les prévisions révisées, avec les variations exprimées en milliers de tonnes et en pourcentage.
L’objectif de production d’environ 600 000 tonnes de cuivre pour 2026 est suspendu en attente de révision. Kamoa Copper communiquera une mise à jour de cet objectif lorsque de nouvelles informations seront disponibles. Les prévisions actualisées des coûts de production C1 pour 2025 seront publiées lors des résultats financiers du deuxième trimestre 2025.
Démarrage de la Fonderie sur site prévu au troisième trimestre
Le Comité Direction de Kamoa Copper confirme que le démarrage du four de fusion direct commencera début septembre 2025, avec une première anode attendue en octobre. Le four pourra fonctionner à une capacité minimale de 50 %, soit environ 250 000 tonnes de cuivre par an.
Au 31 mai 2025, les stocks de concentré invendu s’élevaient à 33 000 tonnes de cuivre. En préparation du premier aliment de concentré (4 à 6 semaines après le démarrage), les stocks invendus devraient atteindre environ 35 000 tonnes de cuivre contenu.
Par ailleurs, le Comité de Direction prévoit la mise en service de la turbine #5 de 178 mégawatts au barrage hydroélectrique Inga II en octobre 2025, renforçant l’approvisionnement domestique en hydroélectricité du complexe Kamoa-Kakula.
Divulgation d’informations techniques
Les divulgations de nature scientifique ou technique dans ce communiqué de presse, à l’exception des résultats géotechniques préliminaires et des informations techniques figurant dans la Figure 1, ont été examinées et approuvées par Steve Amos, qui est considéré, en vertu de sa formation, de son expérience et de son affiliation professionnelle, comme une personne qualifiée au sens du Règlement NI 43-101.
M. Amos n’est pas considéré comme indépendant selon le NI 43-101, car il est vice-président exécutif, Projets, chez Ivanhoe Mines. M. Amos a vérifié les données techniques divulguées dans ce communiqué de presse.
Les divulgations de nature scientifique ou technique concernant les résultats géotechniques préliminaires dans ce communiqué ont été examinées et approuvées par Koos Bosman, qui est considéré, en vertu de sa formation, de son expérience et de son affiliation professionnelle, comme une personne qualifiée au sens du NI 43-101.
M. Bosman est considéré comme indépendant de la société aux fins du NI 43-101, car il est directeur général d’Open House. M. Bosman a vérifié les données techniques relatives aux résultats géotechniques préliminaires divulgués dans ce communiqué.
Les divulgations de nature scientifique ou technique figurant dans la Figure 1 de ce communiqué ont été examinées et approuvées par Joshua Chitambala, qui est considéré, en vertu de sa formation, de son expérience et de son affiliation professionnelle, comme une personne qualifiée au sens du NI 43-101.
M. Chitambala n’est pas considéré comme indépendant selon le NI 43-101, car il est responsable des ressources chez Ivanhoe Mines. M. Chitambala a vérifié les autres données techniques relatives aux stocks de surface divulguées dans ce communiqué.
À propos de Kamoa Copper
Le projet Kamoa Copper est une joint-venture entre Ivanhoe Mines (39,6 %), Zijin Mining Group (39,6 %), Crystal River Global Limited (0,8 %) et le gouvernement de la RDC (20 %).
Le complexe cuprifère de Kamoa-Kakula est l’une des principales exploitations minières de cuivre à la teneur la plus élevée et à la croissance la plus rapide au monde. Des concentrés de cuivre ont été produits pour la première fois en mai 2021 et, grâce aux expansions en cours des phases 2 et 3, Kamoa Copper est en passe de devenir l’une des plus grandes exploitations de production de cuivre au monde, avec des prévisions de production pour 2025 se situant entre 520 000 et 580 000 tonnes de cuivre sous forme de concentrés.
Le complexe cuprifère de Kamoa est alimenté par de l’électricité hydroélectrique propre et renouvelable et figure parmi les plus faibles émetteurs de gaz à effet de serre au monde par tonne de cuivre métal produite, sur la base des critères Scope 1 et 2.